En déclenchant les hostilités le 7 août 2008, le président géorgien Saakashvili semble avoir effectué un bien mauvais calcul. Car les armements fournis par Israël, l’Ukraine et plusieurs pays de l’OTAN n’ont pas fait le poids face à la puissance de feu russe. Fortement dépendant de Moscou sur plusieurs plans, l’Occident n’a aucun intérêt à ce que la crise s’envenime. Il devrait dès lors renoncer à ses vieux mythes hérités de la Guerre froide, cesser sa politique d’encerclement de la Russie et promouvoir une véritable coopération.
Après le conflit géorgien : une indispensable coopération entre la Russie et l’Occident
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