Ce dimanche 9 janvier, à l’aube de la Présidence française de l’Union européenne, Federico Santopinto a publié une tribune sur LeMonde.fr intitulée « Défense européenne : Le système communautaire n’est pas une menace à la souveraineté, mais un moyen de la préserver ».
Mercredi 12 janvier 2022, Federico Santopinto a été interviewé par la chaîne d’info LN24 au sujet de la crise ukrainienne et du rôle de l’Union européenne et de l’OTAN.
(Pour visionner l’émission sur LN24, cliquez ci-dessus et désactivez Adblock).
Patrice Bouveret, Directeur de l’Observatoire des armements et Jean-Marie Collin, Porte-parole d’ICAN France et chercheur associé au GRIP, ont publié une tribune sur les déchets nucléaires militaires.
Yannick Quéau, directeur du GRIP a été interviewé par le média Urdu Point News / Sputnik au sujet des grandes manœuvres d’exercices menées par l’OTAN dans l’Arctique.
Le directeur du GRIP, Yannick Quéau, était l’un des invités de Jean-Pierre Martin dans le Mag Inter de la chaîne d’info LN24, ce mercredi 26 janvier, pour évoquer la potentielle invasion de l’Ukraine par la Russie.
Cliquez sur l’image pour voir l’intégralité de l’émission.
Federico Santopinto est intervenu ce mercredi 26 janvier 2022 dans l’émission La matinale de la chaîne TV d’info en continue LN24 pour débattre de la crise ukrainienne et du rôle de l’Europe.
Federico Santopinto a été interviewé par Africa Gordillo dans le cadre d’un article paru sur le site RTBF.be au sujet de la crise ukrainienne et des relations entre l’Europe, l’Ukraine et la Russie.
Yannick Quéau a été interrogé par La Meuse à propos du rôle de la Belgique dans l’Otan au sujet des tensions en Ukraine.
Voici la retranscription de l’article :
« Repères
Tensions sur l’Ukraine: quel serait le rôle de la Belgique dans l’Otan
Tout en préparant de nouvelles sanctions contre la Russie, les États-Unis et leurs alliés de l’Otan ont saisi le Conseil de sécurité des Nations Unies sur la crise ukrainienne.
Y.H.
Ce lundi, le Conseil de sécurité de l’ONU se réunit sur la crise ukrainienne à la demande des États-Unis et de leurs alliés de l’Otan afin de dissuader Moscou d’envahir son voisin. Ce mardi, les chefs des diplomaties américaine, Anthony Blinken, et russe Sergueï Lavrov, s’entretiendront par téléphone. La Russie est accusée depuis la fin 2021 d’avoir massé jusqu’à 100.000 soldats à la frontière en vue d’une attaque. Dimanche, Kiev a appelé Moscou à retirer ses troupes.
Parallèlement à des voies diplomatiques, l’Amérique prépare de nouvelles sanctions contre la Russie. La Belgique fait partie de l’Otan. Quel sera son rôle si la situation dégénère un peu plus? Nous avons posé la question à Yannick Quéau, directeur du GRIP, le Groupe de recherche et d’information sur la paix et la sécurité. «L’Ukraine ne fait pas partie de l’Otan. Le principe d’automaticité d’aide prévu dans l’article 5 de l’Alliance n’intervient pas», précise d’emblée notre interlocuteur.
Mais si l’Otan devait s’impliquer davantage? «Personne ne veut vraiment croire à un conflit. Cela dit être même d’une alliance militaire entraîne des implications, des gestes à poser en conséquence. N’oublions pas que la Belgique accueille le siège de l’Otan. C’est important pour de plus grands pays d’avoir une coalition d’États en vue de légitimer leurs actions».
«En fait, nous sommes dans une partie de poker menteur. Il s’agit d’instiller le doute dans l’esprit de l’autre partie quant à de possibles réactions, mais sans dévoiler la ligne rouge à ne pas franchir, ni dire ce que l’on ferait», conclut Yannick Quéau. »
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