Depuis que l’ONU a été saisie par l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) du dossier nucléaire iranien, les sanctions adoptées le 24 mars 2007 contre Téhéran représentent le quatrième acte du long bras de fer qui oppose la République islamique au Conseil de sécurité (CS). La présente Note, qui résume brièvement cette relation tourmentée ainsi que le contenu des mesures restrictives adoptées, souligne le fait que l’efficacité des sanctions dépend aussi des possibilités de dialogue qui les accompagnent et de la volonté de trouver un compromis.

 

pdf Les sanctions in crescendo de l’ONU à l’égard de l’Iran : état des lieux

 

 

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Federico Santopinto est spécialisé dans l’intégration européenne en matière de défense et de politique étrangère. A ce titre, il suit aussi les politiques de coopération au développement de l’UE utilisées à des fins de prévention et de gestion des conflits. Dans ce cadre, il a mûrit une longue expérience de terrain en qualité d’observateur électoral de long terme pour l’UE et l’OSCE dans les pays en situation post-conflit, notamment en Afrique.